L’éthique du care, ou de la « sollicitude », prête à l’art de nouvelles fonctions en phase avec le contexte sanitaire actuel : offrir un bien-être personnel et collectif aux spectateurs, retisser des liens de solidarité envers les artistes les plus précaires, et protéger un environnement menacé.
Une enquête à lire dans l’Hebdo du Quotidien de l’Art (18 décembre 2020) par François Salmeron.
Avec les témoignages de :
Sarah Roshem (artiste-chercheuse), Jeanne Susplugas (artiste), Paul Ardenne (historien de l’art), Isabelle de Maison Rouge (critique d’art et commissaire d’exposition), Agnès Violeau (curatrice), Jérémy Gobé (artiste).