Les œuvres de Marie Labat, teintées de naturalisme magique, invitent à mener une profonde réflexion sur la terre nourricière, sur ce qui s’en est effacé, mais aussi sur ce qui peut être sauvé ou renaître grâce à l’attention, au soin, à ce que l’artiste nomme une « philosophie du vivant ». C’est ce que révèlent les huit contes écosophiques – petites légendes rurales au message universel – qui se tissent ici autour de son art agroféministe.
![](https://aicafrance.org/wp-content/uploads/2023/08/couv-site-constellation-2c-marielabat-438x432.png)