Les œuvres de Marie Labat, teintées de naturalisme magique, invitent à mener une profonde réflexion sur la terre nourricière, sur ce qui s’en est effacé, mais aussi sur ce qui peut être sauvé ou renaître grâce à l’attention, au soin, à ce que l’artiste nomme une « philosophie du vivant ». C’est ce que révèlent les huit contes écosophiques – petites légendes rurales au message universel – qui se tissent ici autour de son art agroféministe.
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