« Le dessin ne fait exister la lumière que par contraste, il ne fabrique que le sombre et du coup il s’est tapi pendant des siècles à l’ombre de la peinture. De même par sa fragilité, il ne peut prétendre goûter à l’éternité de la sculpture, mais le monde a changé, les regards et les systèmes de conservation se sont modifiés. Il ne construit rien, il n’est qu’un plan, mais à l’époque ou une imprimante laser construit une maison la question de construction, de volume et de matérialité est bien plus ouverte. (…)
Le dessin par sa simplicité est un terrain de jeu infini. Sa simplicité apparente, c’est sa force et quoi que l’on dise il est présent partout.”
Portrait chinois, interview par Marlène Pegliasco de Jean-Philippe Roubaud, SMARTY Magazine
« Didascalie 7, Palais obscur » de Jean-Philippe Roubaud est un hommage au lieu qui accueille sa septième exposition personnelle : Le Château de la galerie Espace à Vendre.