A distance des centres urbains et en quelques décennies, nombre d’artistes se sont retrouvés à créer aux détours de sentiers, de parcs nationaux, de zones périurbaines. Un engouement pour un art des grands chemins – alors que la liberté de création y semble parfois moindre, prise sous le régime de la commande et de la négociation avec les habitants et les territoires – qui témoigne des aspirations écologiques, des droits culturels, de l’art et de notre perception des territoires.
Texte à retrouver sur cairn
https://www.cairn.info/revue-nectart-2024-2-page-110.html
