SYNOPSIS
Le citron, le miel, le sel font partie des éléments vitaux d’une œuvre évolutive qui fait de Jean-Pierre Bertrand un précurseur. Dès 1980, il explore les transformations de la matière par l’imprégnation du papier à travers ses expériences du vivant.
Le sel tient une place particulière dans l’œuvre de Jean-Pierre Bertrand en regard du phénomène argentique. Il est un agent d’énergie, un révélateur ; sensible à la lumière par sa dimension moléculaire, il déclenche le processus corrosif.
Dans sa conférence, Jeanette Zwingenberger livre des pistes d’interprétation de la démarche artistique de l’artiste, en phase avec l’époque actuelle.