Aujourd’hui, pendant que le réalisme capitaliste postule qu’il est « plus facile d’imaginer la fin du monde que celle du capitalisme », le Réalisme extraterrestre prospecte en marge du néolibéralisme, s’immisce dans les failles de l’imaginaire, « refuse d’abandonner le désir du futur » selon l’expression de Mark Fisher. À travers l’ensemble des œuvres de l’exposition,se révèle le mantra du Réalisme extraterrestre : « La forme suit la science-fiction ».
Une proposition curatoriale de Christophe Bruno, Chrystelle Desbordes et Pierre Tectin.
Cette exposition (20-23/02/25) a été organisée avec le soutien de la Villa Belleville (Paris) et des éditions Les plis du ciel (essai-catalogue en cours de publication).