Les recherches de Sophie Lapalu posent les questions de légitimité et de visibilité ; elle fait des tentatives qui oscillent de la marge au centre, contribuant à la reconnaissance de pratiques minoritaires, faisant une critique instituante d’œuvres émergentes. Elle pose la question du sens de la visibilité de ces pratiques et de la place de son énonciation. Ces recherches l’ont menée à expérimenter des formats au travers de programmations de performances, d’expositions contées, d’émissions de radio, de festivals de l’inattention, d’œuvres embarquées à bord d’un bateau à voile [embed]. Elle est également membre du comité de rédaction de la Belle Revue, matelot du Laboratoire des Hypothèses, docteure en esthétique et science de l’art, correspondante pour *DUUU radio, enseignante à l’École d’art d’Aix en Provence. Elle a publié un travail de recherche sur la genèse d’actions furtives (Street Works, New York, 1969, Presses Universitaires de Vincennes, 2020) ou coordonné un ouvrage sur la place de l’enseignement féministe intersectionnel en école d’art (Pour des écoles d’art féministes ! Tombolo presses et ESACM, 2024).
Elle publie l’ensemble de ses textes sur son (vieux) blog ici !