Historien de l’art, chercheur, commissaire d’exposition, critique d’art et conférencier, Pascal Pique a dirigé le département art contemporain du Musée d’art moderne et contemporain des Abattoirs à Toulouse et le Fonds Régional d’Art Contemporain Midi-Pyrénées jusqu’en 2012. Depuis, il développe le Musée de l’Invisible, une instance de création et de recherche dédiée aux relations entre l’art et les multiples formes de l’Invisible : de l’astrophysique aux savoirs alternatifs en passant par l’étude de certains phénomènes naturels, des dimensions visionnaires et métagnomiques. Crée en 2013, le Musée de l’Invisible a collaboré avec le Palais de Tokyo (inauguration de l’Académie de l’Arbre), l’Espace culturel Louis Vuitton à Paris (exposition Astralis), la Biennale d’art contemporains de Salvador de Bahia (lancement du manifeste de l’arbre), le Musée National des Arts et Métiers, le Musée Gassendi à Digne-les-Bains, ainsi que le centre d’art de Lacoux, l’Institut d’art contemporain à Villeurbanne, le Crac à Sète ou le Parvis à Ibos (expositions L’arbre visionnaire, Pierres de vision, Athanor, l’Abeille blanche). Il s’intéresse à la question de l’énergétique des œuvres d’art et aux esthétiques de l’écoconception avec les récentes expositions Energéïa à Topographie de l’art à Paris et Géométries de l’Invisible à l’Espace de l’art concret de Mouans-Sartoux. Et tout dernièrement le programme Elixirs, ART Ecologie en val d’Adour. Les activités du Musée de l’Invisible participent du projet de recherche d’un doctorat en Science de l’art/Esthétique à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne dédié au développement d’une écoestétique énergétique et réparatrice.