Mikaël FAUJOUR

Collaborateur d’Artension depuis 2014, de la Revue de la céramique et du verre (2017-2020), de Marianne depuis 2019, du Droit de vivre depuis 2020, d’Esprit depuis 2021, je rends compte de coups de cœur, me fends de billets d’humeur sur les aberrations de l’art institutionnel ou financier, m’efforce à analyser ce que cet art — le pire comme le meilleur — dit de notre temps et, dans les meilleurs cas, ce qu’il dit de la belle et tragique condition humaine.

Autres :

  • dossier sur les rapports entre peinture et arts graphiques (dessin, peinture) pour la revue Camera (2018) ;
  • « Torture Porn : extrémiser l’extrême », essai sur le cinéma d’horreur extrême, dans l’ouvrage collectif Divertir pour dominer 2 des éditions L’échappée (2019) ;
  • direction de « La vie en verre », hors-série n°28 d’Artension sur l’art contemporain en verre (2020) ;
  • préface de la réédition  de L’Empire du non-sens de Jacques Ellul (sorti initialement en 1980), aux éditions L’échappée (janvier 2021) ;
  • « Art engagé Quand le monde de l’art s’enivre de pseudo-résistance », Ligeia, dossiers sur l’art (2021) ;
  • préfaces et/ou textes pour la peintre et sculptrice Rūta Jusionytė, les peintres Éric Roux-Fontaine, Mikko Paakkola, Philippe Ségéral, Jacques Le Brusq, le « sculpteur » verrier Antoine Leperlier.

Je défends et reste attaché à une critique telle que l’a définie Charles Baudelaire : « partiale, politique, passionnée », refusant le galimatias conceptuel et l’aridité.

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