
Pigiste pour Artension et Le Monde diplomatique depuis 2014, de la Revue de la céramique et du verre (2017-2020), de Marianne depuis 2019, du Droit de vivre depuis 2020, d’Esprit depuis 2021, je rends compte de coups de cœur, me fends de billets d’humeur, m’efforce à analyser ce que cet art — le pire comme le meilleur — dit de notre temps et, dans les meilleurs cas, ce qu’il dit de la belle et tragique condition humaine.
Publications :
- dossier sur les rapports de citation, d’influence etc., entre peinture et arts graphiques (dessin, peinture) pour la revue Camera (2018) ;
- « Torture Porn : extrémiser l’extrême », essai sur le cinéma d’horreur extrême, dans l’ouvrage collectif Divertir pour dominer 2 des éditions L’échappée (2019) ;
- direction de « La vie en verre », hors-série n°28 d’Artension sur l’art contemporain en verre (2020) ;
- préface de la réédition de L’Empire du non-sens. L’art et la société technicienne de Jacques Ellul (sorti initialement en 1980), aux éditions L’échappée (2021) ;
- « Art engagé Quand le monde de l’art s’enivre de pseudo-résistance », Ligeia, dossiers sur l’art (2021) ;
- traduction (textes issus de deux anthologies parues au Mexique et en Argentine) et avant-propos de Critique de la raison décoloniale. Sur une contre-révolution intellectuelle, aux éditions L’échappée (2024) ;
- « Antoine Leperlier, l’intempestif », texte pour la monographie d’Antoine Leperlier Donner forme au temps, à l’occasion de l’exposition rétrospective homonyme au Musée de Conches-en-Ouche (2024), éditions Arnoldsche ;
- « Habiter le monde », texte de la monographie de Brigitte Marionneau éditée à l’occasion de l’exposition à la galerie Capazza « Empreindre au noir », éditions LeLivredArt (2024) ;
- Æquilibrium, ensemble de textes de réflexion théorique en forme d’abécédaire autour des pratiques artistiques fondées dans le matériau et le matiérisme, les liens poreux entre métiers d’art et art contemporain, mais aussi sur la figure, l’utopie, l’intemporalité, pour circonscrire les singularités esthétiques de la galerie Capazza à l’occasion de ses cinquante ans (2025) ;
- « Paysages du lointain intérieur », texte de la monographie de Jacques Rouby éditée à l’occasion de l’exposition à la galerie Claire Corcia (en association avec la galerie La Ralentin) « Jacques Rouby : cartons sculptés et dessins », éditions LeLivredArt (2025) ;
- « Un art du « non-agir », ou le dépôt du temps », texte pour Solargraph, de Robert Charles Mann, monographie éditée à l’occasion de l’exposition d’été à la galerie Capazza, éditions LeLivredArt (2025) ;
- préfaces et/ou textes pour la peintre et sculptrice Rūta Jusionytė, les peintres Éric Roux-Fontaine, Mikko Paakkola, Philippe Ségéral, Clément Reinaud, Johann Rivat etc.
Je reste attaché à une critique telle que l’a définie Charles Baudelaire : « partiale, politique, passionnée ».