Camille Paulhan est historienne de l’art, critique d’art et enseignante, elle vit et travaille entre Paris et partout.
Ci-dessous, un résumé tout à fait fidèle de ses recherches actuelles ou récentes :
champignons, oeuvres malades ou irreproductibles, critique d’art prédictive, scène artistique castelroussine, vieilles dames, boulettes, livres d’or, métaphores excrémentielles dans les oeuvres chocolatées, ateliers d’artistes. Et caetera.
Ci-dessous, un résumé tout à fait classique de son parcours :
Elle a suivi des études à l’université Paris-I Sorbonne, et y a soutenu en 2014 une thèse portant sur la question du périssable dans l’art des années 1960-1970. Elle enseigne actuellement à l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Lyon, après avoir enseigné à l’École Supérieure d’Art Pays Basque (Bayonne-Biarritz), et avoir été chargée de cours à l’EMCA (Angoulême) et à l’UCO (Angers).
Elle publie des textes dans des revues spécialisées comme 02, art press, Clubsandwich magazine, Critique d’art, Esse, Facettes, Hippocampe, Josefffine, La Belle Revue, Marges, Specific Cheeses, Talweg ou Travioles. Elle est membre du comité de rédaction de la revue Possible. Sur Internet, elle collabore aux plateformes AOC, AWARE, Switch on paper et Thank you for coming. Elle est correspondante « Arts » pour la revue Flush.
Elle écrit également régulièrement pour des catalogues d’exposition ou des monographies (Charlotte Charbonnel, Jean-Christophe Norman, Pascale Rémita, Dorothée Selz, Clément Borderie, Nicolas Daubanes, Julie Chaffort, Florence Jung…) et collabore depuis 2013 avec l’ENSBA pour la rédaction de textes sur le travail des jeunes diplômés. Elle a écrit et parlé sur les artistes femmes âgées, la fermentation, la photographie brute, les artistes qui gomment, le milieu de carrière, les chewing-gum, la transmission en écoles d’art, les ateliers d’artistes, les conserves alimentaires dans l’art, l’atelier des enfants au Centre Pompidou, les artothèques, les livres d’or d’expositions, le dessin performatif, la vénération de la couronne d’épines, les chauffeurs de taxi basques, les champignons, la poussière, l’école de Nice, le jeunisme, le caviardage artistique, la mollesse, les bons sentiments. Et caetera.
En 2017, elle a fait publier une anthologie de textes de Gilbert Lascault, Saveurs imprévues et secrètes, aux éditions Hippocampe. En 2021, elle publie un essai, Couper à travers les ronces, aux éditions Sombres torrents. En 2022, elle fait paraître un entretien avec Esther Ferrer aux éditions Manuella/AWARE. Elle prépare actuellement un ouvrage sur la scène artistique castelroussine.
Elle a été rapporteuse pour l’aide individuelle à la création à la DRAC Île-de-France en 2010 et membre de plusieurs jurys de DNAP ou DNSEP. Elle est membre heureuse de la confrérie Specific Cheeses, a un passé de vélotypiste et joue de la flûte à bec (depuis qu’elle a appris qu’Umberto Eco était un grand flûtiste amateur, elle n’hésite plus à le mentionner).
Liste complète des publications : http://www.archivesdelacritiquedart.org/auteur/paulhan-camille
Publications scientifiques en ligne : https://univ-paris1.academia.edu/CamillePaulhan